La construction de 6 EPR 2, à constructibilité améliorée, doit débuter. D’autres devront suivre. Des petits réacteurs de conception classique ou innovante trouveront leur place pour des applications industrielles spécifiques.
Les installations de traitement du combustible usé qui séparent la matière fissile résiduelle, source d’énergie, des déchets ultimes destinés au stockage géologique profond seront renouvelées.
Enfin, la raréfaction inéluctable de la ressource mondiale en uranium impose la relance du développement des réacteurs à neutrons rapides qui augmentent considérablement l’énergie extraite de l’uranium.
La France, pionnière dans ce domaine, dispose d’un stock capable de produire notre électricité pour un millier d’années.