La population ou un enjeu à géométrie variable
De Denis Diderot dans l’Encyclopédie « La plus grande richesse d’un État consiste dans le nombre de ses sujets » au Rapport Meadows « Les limites de la croissance » il y a 50 ans, ou au mouvement Ginks (Green inclination no kids) d’aujourd’hui, la transition démographique nous explique l’aventure collective qui a conduit l’humanité de 1 milliard d’humains en 1800 sur la Terre à 8 milliards aujourd’hui.
Pourquoi la population mondiale a-t-elle crû si rapidement ces deux derniers siècles et promet de continuer d’augmenter ? L’équilibre séculaire s’est rompu sous la pression de mouvements révolutionnant la mécanique démographique classique. L’analyse de la mortalité et de la fécondité nous éclaire.
Malthus avait-il raison : serons-nous bientôt trop nombreux sur la Planète ?